Le séquençage génomique dans la riposte à Ebola

Des études montrent que le virus Ebola peut persister dans les fluides corporels – comme le sperme ou le lait maternel – des survivants pendant des mois. La récente réapparition d'Ebola en Guinée et en République démocratique du Congo est liée à des fluides corporels de survivants.

La surveillance communautaire, un élément central de la lutte contre l'épidémie d'Eb...

Quelques jours après avoir référé un malade à l’hôpital régional, Dr Emmanuel Goépogui, un médecin généraliste à la tête d’une clinique privée dans la commune urbaine de N’Zérékoré, dans le sud-est de la Guinée, a reçu la visite d’une équipe de la surveillance communautaire. « Ils sont venus m’informer que mon patient avait été testé positif à la maladie à virus Ebola et que j’étais un contact direct. » Le Dr Goépogui a finalement été testé négatif. « Puis, j’ai été vacciné avec tous les membres de ma famille qui vivent avec moi. Après 21 jours de suivi, on m’a dit que j’étais indemne. »

Pierre-Jean, premier guéri d’Ebola : « Je ne peux pas croire que certains doutent de...

Pierre-Jean (*) est le premier guéri de la maladie à virus Ebola depuis sa réapparition en Guinée, le 14 Février 2021. En convalescence depuis deux semaines, le sexagénaire a décidé de raconter son expérience pour sensibiliser la population et éviter que d’autres ne subissent la même épreuve que lui : en moins d’un mois, il a déjà perdu quatre membres de sa famille, dont son épouse.

Une nouvelle épidémie d'Ebola déclarée en Guinée

Health authorities in Guinea today declared an outbreak of Ebola in the rural community of Gouéké in N’Zerekore prefecture after three Ebola cases were confirmed by the national laboratory, marking the first time the disease has been reported in the country since an outbreak ended in 2016.

S'efforcer de maintenir les services essentiels malgré la COVID-19

Des dizaines de lits vides dans une salle habituellement pleine, des couloirs déserts qui autrefois débordaient d'activité, telle est la situation du service de cardiologie de l'hôpital universitaire national Ignace Deen à Conakry, le deuxième plus grand hôpital du pays. Le département a connu une forte baisse du nombre de ses patients depuis le début de la COVID-19.