Prise en charge de la malnutrition aigüe sévère

L’OMS présente les nouvelles directives aux acteurs nationaux

Un atelier sur la présentation des nouvelles directives de prise en charge de la malnutrition aiguë sévère et les outils de formation de l’OMS sur la nutrition des personnes vivant avec le VIH a ouvert ses travaux ce matin, à Abidjan. Il s’agit pour l’Organisation mondiale de la santé de présenter aux acteurs nationaux de la nutrition, les nouveaux critères de prise en charge qui visent à faire baisser, en milieu hospitalier, le taux de létalité à moins de 5%, parmi les enfants souffrant de malnutrition sévère.

Révision des curricula de formation sur la vaccination pour les facultés de medecine...

Abidjan, OMS - Côte d’Ivoire, 10 mai 2013 -- L’Organisation mondiale de la santé (OMS), en collaboration avec d’autres partenaires de la vaccination, organise, du 13 au 17 mai 2013, à Grand-Bassam (Côte d’Ivoire), un atelier destiné aux enseignants des facultés de médecine et écoles de formation des infirmiers et sages-femmes de la région africaine et aux gestionnaires des programmes élargis de vaccination (PEV).

2013, décrétée année de la santé en Côte d’Ivoire

Le gouvernement ivoirien, par la voix du Premier Ministre, Son Excellence Daniel Kablan Duncan, a déclaré l’année 2013 comme année de la santé en Côte d’Ivoire. C’était le 1er février 2013, au centre des Conférences du Ministère des Affaires étrangères, en présence d’une partie des membres du gouvernement, des Ambassadeurs et des partenaires techniques et financiers. 

Le Ministre ivoirien de la santé lance le premier passage des JNV visant à vacciner ...

Le Ministre ivoirien de la santé et de la lutte contre le sida, Prof. Thérèse N’Dri-Yoman, a procédé, en présence des partenaires de l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite, au lancement officiel du premier passage des Journées nationales de vaccination contre la poliomyélite pour l’année, le 23 mars 2012. La ville d’Adzopé (environ 100 km d’Abidjan) a été choisie pour abriter cette cérémonie de lancement d’une campagne qui vise à atteindre 7 336 530 enfants de 0 à 59 mois, sur l’ensemble du territoire national.

Renforcer la sécurité sanitaire par l'application correcte du reglement sanitaire in...

Abidjan (Côte d’Ivoire), 05 décembre 2016 – 11.300 morts. C’est la catastrophe humanitaire causée par la maladie à virus Ébola en Afrique de l’ouest, entre mars 2014 à février 2016. La Guinée, le Liberia et la Sierra Leone ont été les principaux foyers de cette épidémie qui a ravagé les familles et décimé les économies déjà fragiles de ces trois pays.

Côte d’Ivoire | Lutte contre la coïnfection tuberculose/VIH : les indicateurs de dép...

« Autant les tests systématiques de VIH devraient être accordés à tous les patients présumés ou diagnostiqués de tuberculose, autant la thérapie antirétrovirale (ART) et la thérapie préventive au co-trimoxazole (CPT) devrait être accordée à tous les patients tuberculeux vivant avec le VIH », c’est en substance le message qu’a délivré le Représentant par intérim de l’OMS en Côte d’Ivoire, Dr Seydou Coulibaly, à l’occasion de la cérémonie  d’ouverture de la réunion trimestrielle du Comité élargi TBVIH qui s’est tenu le 30 juin 2016, à la salle de conférence du Bureau de l’OMS à Abidjan.&

Eradication de la poliomyélite en Côte d’Ivoire : La Côte d’Ivoire lance la dernière...

La ville insulaire de Jacqueville (environ 40 km à l’ouest d’Abidjan) a été le théâtre du lancement officiel du deuxième passage des journées nationales de vaccination contre la poliomyélite en Côte d’Ivoire, le 8 avril 2016. Bien que déclarée pays libre de poliomyélite depuis novembre 2015, le pays intensifie les campagnes afin de renforcer l’immunité des enfants de 0 à 5 ans et maintenir son statut chèrement acquis. Plus de huit millions d’enfants de 0 à 5 ans sont visés par ces journées de vaccination.

Journaliste et santé : l’OMS et les journalistes scientifiques se concertent à Abidj...

Abidjan (Côte d’Ivoire), 10 septembre 2015 (OMS) - La propagation de la maladie à virus Ébola en Afrique de l’Ouest a mis en évidence la nécessité urgente de combler les lacunes en matière de communication entre les scientifiques, les journalistes et les collectivités. Au-delà des effets dévastateurs du virus Ébola, le manque de communication a largement contribué à accroître les craintes de la population et à semer la confusion parmi les scientifiques et les journalistes qui suivent de près l’épidémie.