Lorsque Kambale Kombi Vianey est arrivé au Centre de traitement Ebola (CTE) à Beni, dans l’Est de laRépublique démocratique du Congo fin novembre 2018, il était à la porte de la mort. Dans la semaine qui a suivi sa maladie, on lui avait d'abord mal diagnostiqué le paludisme et la typhoïde, puis un guérisseur traditionnel lui a dit qu'il avait été empoisonné.